Lundi : Comment bien démarrer la semaine ?

Un dîner au bistrot Paul Chêne (ouvert le lundi), en bonne compagnie… et avec la télévision finlandaise (reportage ici à partir de 8min25), curieuse de savoir comment les français parviennent à manger autant de beurre sans (trop) prendre de poids. La clé selon leur expert ? La sociabilité. Personnellement, si je sors dîner, c’est pour sentir la vie, seule ou accompagnée. M’asseoir à un comptoir de restaurant, c’est un peu ma méditation à moi. Pas pour vous ?

Mardi : Un rêve d’enfant à 6h du mat’

Les digestifs de la veille (merci Adrien) n’ont clairement pas aidé, mais l’excitation était là : retour dans les coulisses de La Grande Épicerie. Juste sous nos pieds, des mètres carrés de fours, d’ateliers de chocolaterie et de boulangerie. Petit aperçu ici. Fun fact : on y fabrique “probablement” (je n’ai honnêtement pas checké la taille de tous les sandwiches de Paris) le plus grand jambon-beurre de la ville. Deux mètres de baguette croustillante, farine de Versailles, beurre persillé d’Isigny et, évidemment, jambon Prince de Paris. Vendu à l’unité à l’étage. Un sandwich géant pour la saison des pique-niques… on signe où ?

Mercredi : cap sur Pyramides

J’ai rendez-vous à l’hôtel Nolinski - très joli cocktail bar. En plus du classique Café Kitsuné au Palais Royal, mes autres repères du coin sont l’Hôtel Voltaire pour son espace qui ressemble à une maison de campagne chic et La Crème du Palais Royal pour ses feuilles en céramique au sol. Ah oui, et je tanne l’équipe de Merci #2 , tout juste ouvert, pour qu’ils y installent un café.

Le sol de La Crème du Palais Royal

Bougie “Oeuf” chez Merci #2

Jeudi : La Fashion mange enfin!

Quel rêve d’aller à une présentation de collection et de pouvoir squatter le buffet sans scrupule. Voilà ce que j’ai récemment repéré :

Le buffet d’accessoires chez Loulou de Saison

Les bouchées inspirées de l’organza, chez Icicle

Les jolis petits pois de saison chez Claudie Pierlot

Autre découverte mode, non comestible cette fois-ci : le siège de la marque Bourrienne Paris, niché dans un hôtel particulier de l’époque du Directoire (1795-1799) dans le 10ème arrondissement. Pousser des portes et atterrir dans des lieux pareils est une des expériences les plus hallucinantes de mon métier. L’identité de la marque découle elle-même du lieu : son fondateur, frustré par le manque d’offre de vêtements pour hommes a imaginé une ligne (H/F) s’inspirant de la décoration du lieu. So chic.

Vendredi : Tram 130

TRÂM 130 est une des ouvertures les plus hot de l’année et ce pour plein de raisons dont je vous parle ici. J’y suis retournée avec Madame Figaro pour tester le menu d’été. Et le plus étonnant, c’était cette tomate. Sur le papier , elle me tentait un peu moins que le reste (aurait-elle vraiment du goût ?), la cheffe a bien fait d’insister : c’était top. Comme une salade en bouche, avec le fruit en entier, ultra frais, ferme et mariné au kombu.

Elle était un peu à l’image de ce plat qui m’a particulièrement marqué chez JIP et que je n’aurais pas pris si le chef ne me l’avait pas fait goûter : une salade de pommes de terre froides aux oignons doux. Presque un goût de frites, pas facile à expliquer mais délicieux. J’ai fait une vidéo sur le lieu ici.

Samedi : Dans mon sac

J’adore les produits de beauté 2, 3, 4-en-1. Ultra pratique, surtout quand on bouge. La nouvelle marque Cicéron Paris se lance, là, maintenant, tout de suite, avec AURA : un sérum-crème en brume (ça m’a fait penser au Boum-BoumMmilk de Violette lancé il y a quelques années). Derrière : Jeanne Tieu-Benichou, Docteure en Pharmacie, qui me confirme que oui, on peut remplacer un sérum et une crème avec ce produit. Gardons un œil sur ce lancement.

Dimanche : Détail random

Cette table solo chez Blondie, me rappelle le Shinjuku Pitt in, club de jazz à Tokyo dont les tables sont disposées façon salle de classe, toutes orientées vers la scène. Une vibe unique.

Table chez Blondie Paris Xème

Shinjuku Pit Inn; 三毛猫はるこの夢

Et vous ?

Qu’est-ce qui vous a le plus plu dans cette news ? Je vous écoute ! Faites-moi vos retours, et je suis toujours curieuse, d’ailleurs, de connaître vos coups de cœur à vous.

On se parle bientôt

Philou